Hautes-Duyes

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Hautes-Duyes
Hautes-Duyes
Les rochers de Guéruen.
Blason de Hautes-Duyes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Italo Zanartu-Hayer
2020-2026
Code postal 04380
Code commune 04177
Démographie
Gentilé Duyen
Population
municipale
48 hab. (2021 en augmentation de 14,29 % par rapport à 2015)
Densité 2,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 52″ nord, 6° 09′ 30″ est
Altitude Min. 776 m
Max. 1 872 m
Superficie 22,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Digne-les-Bains-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Hautes-Duyes

Hautes-Duyes est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Duyens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Hautes-Duyes et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes sont Authon, La Robine-sur-Galabre, Thoard et Le Castellard-Mélan. Le village est situé à 800 m d’altitude[2]. La commune tire son nom de la Duyes qui la traverse.

Les routes d’accès sont acrobatiques.

Relief[modifier | modifier le code]

Sommets :

  • montagne de Géruen ;
  • crête de la Fubie

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 750 ha de bois et forêts[1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Ouest auquel appartient Hautes-Duyes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune d’Hautes-Duyes est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée des Duyes) ;
  • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[5].

La commune d’Hautes-Duyes n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim existe depuis 2011[7].

La commune a été l’objet d’un seul arrêté de catastrophe naturelle, en 1994 pour des inondations et des coulées de boue[4]. Malgré la classification de la commune pour le risque sismique, il n’existe aucune archive conservant la mémoire des tremblements de terre ressentis dans la commune[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains à 12 km à vol d'oiseau[11], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,8 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hautes-Duyes est une commune rurale[Note 2],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (48,3 %), forêts (38,5 %), prairies (5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,6 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone et celles de ses affluents, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Hautes-Duyes. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[22].

La commune est formée de la fusion de celles d’Auribeau et de Saint-Estève en 1973[23]. Auribeau apparaît vers 1200 dans les chartes (Auribellum), compte 26 feux en 1315 et 3 en 1471[24]. Saint-Estève est cité pour la première fois au XIIIe siècle (Sanctus Stephanus), et compte 26 feux en 1315, et 139 habitants en 1765[25]. Les deux communautés relevaient de la baillie de Digne[26].

Saint-Estève appartient aux comtes de Baschi du XVe au XVIIIe siècle[24], et le fief de Bachy-Saint-Estève est érigé en comté en 1715[27],[28]. Un noyau de protestants se maintient à Saint-Estève jusqu’à la fin du XVIIe siècle et utilise la chapelle et le cimetière Notre-Dame[26].

Durant la Révolution, Auribeau compte une société patriotique, créée après la fin de 1792, ainsi que Saint-Estève[29]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, cette seconde commune change de nom pour L’Arc-des-Duyes[30] (parfois orthographié Larg-des-Duyes[31]).

Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Auribeau, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée. Aucun habitant de Saint-Estève n’a été jugé[32].

Comme de nombreuses communes du département, les communes d’Auribeau et de Saint-Estève se dotent d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, une école dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionne dans chacun des deux villages[33]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas Saint-Estève et Auribeau[34],[35]. Les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent à Saint-Estève de construire une école neuve[36], mais ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de des deux communes sont scolarisées.

L’ancienne école de Saint-Estève est reconvertie en logements sociaux[37].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Hautes-Duyes Blason
D'azur à un chevron d'or accompagné de trois cailloux du même[38].
Détails
Commune formée de la fusion de celles d’Auribeau et de Saint-Estève en 1973.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Économie[modifier | modifier le code]

Aperçu général[modifier | modifier le code]

En 2009, la population active s’élevait à 15 personnes, dont 2 chômeurs[39]. Ces travailleurs sont majoritairement indépendants (sept contre six salariés)[40] et travaillent majoritairement à Hautes-Duyes (huit actifs sur treize)[40]. La majorité des emplois de la commune relèvent du secteur primaire. Il n'y a aucun établissement du secteur secondaire dans la commune, et aucun emploi salarié.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus)[41].

Le nombre d’exploitations professionnelles en 2010 était inconnu de l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture. Il était de quatre en 2000[42], de 10 en 1988[43]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin[42]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 389 ha à 506 ha[43].

Activités de service[modifier | modifier le code]

Fin 2010, le secteur tertiaire ne comptait qu’un seul et unique établissement du secteur administratif[41].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[44]. Les capacités d’hébergement consistent, aux Hautes-Duyes, en des meublés labellisés[45]. Il y a en outre une dizaine de résidences secondaires susceptibles d'apporter un complément à la capacité d’accueil[46],[47],[48].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2014 2020 Chantal Casa   employée
1977 (?) 2014 Jean-Louis Richard[49],[50],[51] PS  
juin 2020 En cours Italo Zanartu-Hayer[52]    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Hautes-Duyes a fait partie, de 1992 à 2016, de la communauté de communes des Duyes et Bléone. Depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.

Démographie[modifier | modifier le code]

Auribeau[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la commune d'Auribeau (avant fusion)
1315 1471 1793 1800 1806 1821 1831 1836
26 feux3 feux213lacune184184160175
1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
165165160170164168147140
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
12810510093101867367
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
47434635241620-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[24], EHESS[53].)

L’histoire démographique d'Auribeau est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles, suivi d'un long mouvement de croissance jusqu’au milieu du XIXe siècle. Lui succède ensuite une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période d'apogée démographique dure de 1806 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul de longue durée, et assez rapide. Dès 1906, la commune enregistre une perte supérieure à la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1806[54]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion d'Auribeau avec sa voisine Saint-Estève.

Saint-Estève[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la commune de Saint-Estève (avant fusion)
1315 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836
26 feux139108lacune142124117140
1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
132144128119114120114104
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
1021041009983838159
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 -
40514939383428-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[25], EHESS[23].)

L’histoire démographique ancienne de Saint-Estève est mal connue. Elle connait elle aussi une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé, mais plus courte que celle d'Auribeau : de 1806 à 1851. L’exode rural est moins rapide à Saint-Estève qu'à Auribeau : la perte de la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1846 n'est enregistrée qu'en 1921[55]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion avec sa voisine Auribeau.

Hautes-Duyes[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].

En 2021, la commune comptait 48 habitants[Note 3], en augmentation de 14,29 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
108142124117140132144128119
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1141201141041021041009983
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
838159405149393834
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
283833292732334043
2021 - - - - - - - -
48--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L’église paroissiale d’Auribeau se trouve à l’écart du hameau[26],[59]. Placée sous le vocable de Saint-Pierre, c’est un ancien prieuré[26]. Au-dessus d’Auribeau, subsiste la base d’une tour, au lieu-dit Castellar de Saint-Pierre[59]. L’une des tours d’angle du château d’Auribeau est en fait un pigeonnier[60], le reste du bâtiment, datant du XVIIe siècle tombe en ruines, y compris la chapelle Saint-Sébastien du château[26].

L’ancienne église de Saint-Estève s’appelle Notre-Dame-des-Touisses[24],[26].

La chapelle Saint-Pierre au col Saint-Pierre, ancienne église castrale, est en ruines[26].

La chapelle Notre-Dame, fondée en 1555, vient d’être restaurée[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
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  5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  6. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
  7. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 26 juillet 2011
  8. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Haute-Duyes », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 26 juillet 2012
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Hautes-Duyes et Digne-les-Bains », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  13. « Station Météo-France « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
  23. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. a b c et d Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 161
  25. a et b Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 195
  26. a b c d e f g et h Daniel Thiery, « Hautes-Duyes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2010, mis à jour le 3 décembre 2011, consulté le 26 juillet 2012
  27. Édouard Baratier et Ernest Hildesheimer, « Les fiefs provençaux au XVIIIe siècle », carte 111 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
  28. Par LP de novembre 1715 : AD13, B3395, f°40
  29. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
  30. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
  31. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 [1], consulté le 18 novembre 2008
  32. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
  33. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  34. Labadie, op. cit., p. 16.
  35. Labadie, op. cit., p. 18.
  36. Labadie, op. cit., p. 11.
  37. Labadie, op. cit., p. 58.
  38. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
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  40. a et b Insee, Dossier local, p. 7
  41. a et b Insee, Dossier local, p. 15
  42. a et b Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
  43. a et b Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
  44. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
  45. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
  46. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
  47. Insee, Dossier local, op. cit., p. 16
  48. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
  49. Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1059, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  50. Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  51. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
  52. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Auribeau », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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  59. a et b Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 311
  60. Raymond Collier, op. cit., p 445